Les coûts cachés lies au stress thermique peuvent être consequents
Le nombre de fortes chaleurs est en augmentation. Des températures élevées pendant le tarissement affectent non seulement la vache, mais aussi le veau à naître. Les conséquences pour le veau peuvent se manifester ultérieurement par une production laitière inférieure de 16 % par rapport à la moyenne.
Des impacts sur les veaux à naitre
Un stress thermique en fin de gestation peut avoir des conséquences dramatiques sur la santé, la croissance et la production laitière des veaux laitiers. Il est donc essentiel de gérer efficacement le stress thermique chez les vaches taries pour éviter les effets néfastes sur le veau. Les veaux qui naissent de vaches ayant subi un stress thermique pèsent en moyenne trois kilos de moins à la naissance et ont une immunité plus faible. En effet, le colostrum contient moins d’anticorps, qui sont moins bien absorbés. Par exemple, on a constaté que les veaux issus de vaches ayant subi un stress thermique absorbaient43% d’anticorps en moins (IgG) par rapport à la normale.

Le stress thermique de la mère affecte également le développement du veau. Ils grandissent en moyenne 200 g de moins par jour jusqu’au sevrage. A la fin de leur première lactation, les pertes sont deux fois plus élevées et peuvent atteindre jusqu’à 16 % de lait produit en moins en moyenne. Il a également été démontré que les veaux issus d’une mère n’ayant pas subi un stress thermique sont plus facilement et plus rapidement gestant. Les coûts cachés liés au stress thermique peuvent donc être énormes.
L’appétit des vaches diminue en cas de stress thermique
Pour les vaches laitières, l’impact le plus connu lié au stress thermique est la diminution de la production laitière. Si le stress thermique survient pendant la lactation, la perte moyenne est de 2,5 litres de lait par jour et une fois l’épisode passé, la vache rencontrera des difficultés à revenir à sa production laitière habituelle. A l’inverse, lorsqu’il survient pendant le tarissement, cela va réduire la production laitière de la lactation à venir de 4 à 5 litres en moyenne.
Afin de se débarrasser de la chaleur, la vache envoie plus de sang vers la peau. L’augmentation du volume de sang au niveau de la peau engendre automatiquement une baisse de la circulation sanguine dans la mamelle pour la production de lait et dans les organes responsables de la production d’énergie.
Le foie peut s’engraisser
Lors de fortes chaleurs, l’appétit de la vache diminue. En raison de la baisse d’ingestion, la vache ne reçoit pas suffisamment d’énergie et de protéines. Afin de compenser ce déficit, la vache va puiser dans ses réserves corporelles notamment sa masse musculaire, ce qui entraîne une augmentation du taux d’urée. La vache compense le déficit énergétique en mettant moins d’énergie dans le lait. A la suite d’un stress thermique, si la production de lait diminue pendant une longue période, il peut en résulter une stéatose hépatique, car l’énergie qui serait normalement consacrée à la production de lait est maintenant dépensée pour produire des graisses – un processus inefficace. Une chose que vous ne voulez pas en tant que producteur laitier !
Le AHV Booster Tablet va compenser cette carence énergétique en activant le métabolisme de la vache (foie et rumen). Il aidera le foie à convertir plus efficacement les graisses en énergie.
Amélioration de l’activité de rumination grâce aux solutions AHV Booster
Le graphique 1 montre l’activité moyenne de rumination (temps de rumination, en minutes) des vaches avec ou sans carence énergétique, par jours après vêlage. Ces valeurs ont été validées sur la base des études de Kaufman et al (2016).

Eleveur laitier de Niehof-Velthuis :
“Le AHV Booster Tablet est vraiment un bon produit, après administration, nous constatons un effet rapide et durable. La production de lait augmente et la vache recommence à manger. Nous avons des vaches qui se rétablissent en quelques jours et nous pouvons le voir sur nos données.”